Chef, oui chef !

J’ai reçu le premier bouquet de fleurs de ma vie, ce samedi 4 février ! Un chef d’orchestre, René Zugarramurdi, m’a fait l’honneur de m’associer à une grosse entreprise artistique réunissant 150 choristes adultes, 50 musiciens, un CHEF d’orchestre et …27 élèves de mon école qui avaient la délicate mission d’interpréter le tout dernier chant de cette œuvre majuscule baptisée « Bidaia ». 2000 personnes ont assisté à ce beau moment et je n’en menais pas large en contemplant l’autorité souriante de ce chef qui vit la musique avec ses tripes et dirige sans baguette : “L’art de diriger consiste à savoir abandonner la baguette pour ne pas gêner l’orchestre.” disait Herbert von Karajan. J’ai croisé un gars qui a écrit et imaginé seul ce très gros projet et me suis mis à regretter que mon bagage musical soit aussi riche que le pouët-pouët de Sophie la girafe… Respect, Chef !

“Il y a deux sortes de chefs d’orchestre : ceux qui ont la partition dans la tête et ceux qui ont la tête dans la partition.” Arturo Toscanini

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